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Grenoble cache de petites perles... et il n'y a pas que les noix! Saviez-vous que les pâtes Lustucru sont nées ici en 1824 et ont fait la gloire de la ville et de son économie jusqu'en 1987?
En voici d'autres exemples:
![Cuisine grenobloise 1](/media/upload/saveurs/xtra_227.jpg)
En 1883, Pierre-Jean-Félix Brun fait construire une biscuiterie avenue de Vizille à Grenoble, pour produire leur spécialité : le pain de guerre ou biscuit du soldat. Pendant la guerre de 14, il a fallu étendre l’installation pour faire face à la demande. Ensuite, la biscuiterie a été reconvertie pour produire des biscuits fins.
![Cuisine grenobloise 2](/media/upload/saveurs/xtra_228.jpg)
Le Saint Marcellin est une spécialité grenobloise souvent copiée, notamment par les Lyonnais. Mais un bon Saint Marcellin ne saurait être à la Stéphanoise, à la Bruxelloise ou à la New-Yorkaise. C’est un Saint Marcellin, point, clament les Grenoblois. Le Saint-marcellin est entré dans l’Histoire avec le Dauphin Louis, futur Louis XI. Attaqué par un ours, il fût sauvé par des bûcherons avec qui il partagea ce fromage.
![Cuisine grenobloise 3](/media/upload/saveurs/xtra_229.jpg)
Le Bleu du Vercors-Sassenage est un fromage à pâte persillée, lisse et fine. Ce bleu doux, onctueux au goût subtil et à l’arôme noisette se fête à chaque mois d'août.
![Cuisine grenobloise 4](/media/upload/saveurs/xtra_230.jpg)
Qu'elle soit verte ou jaune, la chartreuse est une spécialité grenobloise. En 1605, le maréchal d’Estrée remet aux moines du monastère de la Grande-Chartreuse un manuscrit révélant la formule d’un élixir de longue vie. Jérôme Maubec, frère apothicaire du monastère, établit en 1737, la formule pratique. L’élixir végétal de la Grande-Chartreuse (titré à 71°) est né. Viendront ensuite la fameuse liqueur de santé, plus connue sous le nom de Chartreuse verte, puis en 1840 une liqueur beaucoup plus douce, baptisée Chartreuse jaune.
![](/media/upload/home/bottom.jpg)
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